Eloise: laissez-vous escorter dans le luxe des plaisirs
Alors oui, je suis sans tabou.
Il y a des choses spéciales dans le s.m hard ou la douleur intense, ou la zoophilie, la scatophilie, ce genre de choses: je n'aime pas, c'est évident.
Mais j'aime le sexe: caresses, préliminaires, fellation jusqu'au bout...vraiment, sodomie, ouiiiie....
Bien entendu, on m'a proposé des milliers de francs pour des rapports non protégés.J'ai toujours dit non.
Le plaisir ne vaut pas qu'on fasse n'importe quoi....
Donc je me considère comme sans tabou.
Et vous?
Dim 13 nov 2011
1 commentaire
Je me pose souvent la question de mes tabous. Il n'est pas simple de savoir ce qui relève du tabou et ce qui relève du choix, du goût et de l'envie. Les gens on tendance à mélanger le fait de dire
non et le fait d'avoir des tabous. Ton exemple est assez parlant, ne pas vouloir faire l'amour non protéger me semble être un choix rationnel, argumenté et intime et non un tabou. Je pense que je
n'ai aucun tabou, en terme de sexualité je peux parler et entendre toute sorte de chose, observer toutes sortes de pratiques mais ce n'est pas pour autant que je désir tout faire tout expérimenter.
Je pense que le tabou se joue là où notre esprit ne veut pas aller, là où il se sent mal alaise, le tabou est alimenté de peur, de méconnaissance et de blocages que l'on ne choisi pas. Il se trouve
que j'ai une grande curiosité pour ce qui est "étrange", parfois "bizarre", parfois "malsain", souvent hors norme donc j'imagine que ça m'a apprit à ne pas avoir trop de tabou
Pornographe Zéro - le 24/11/2011 à 14h36